Mes Ecrits

Hello!
En attendant d'avoir le temps de créer un personnage RP et
une histoire sur cet Univers, je souhaite vous montrer quelques textes
que j'ai écrit il y a plusieurs mois voir plusieurs années. Je les ai
retrouvé dans mes archives
Ils ont été créé pour d'autres jeux qu'Ogame, très similaires.
Je vais être obligé de faire un double poste, l'espace du message étant insuffisant.

Le premier retrace la vie de mon personnage (Sleepman), et situe l'action
dans une domande officielle d'intégration à un poste dans l'équipe du
jeu.
Pas mal d'inspiration de FF9 dans le cadre de la planète natale.


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Hera, planète du système Zephyr, l’étoile Cydonia emplit la capitale Linblum de ses premiers rayons. Le chant des colombes salue l’Aube, et invite les habitants de la paisible ville à interrompre leur sommeil pour contempler la flore matinale qui s’est parée de milles couleurs en ce jour. Les ruelles s’emplissent peu à peu de la foule, les bonjour s’échangent en sourire, les devantures des commerces s’ouvrent, les vaisseaux commencent à apparaître dans le ciel, comme chaque matin Linblum s’élève dans la douceur et la tranquillité.
Silencieusement, Sleepman observe cet éveil depuis son balcon, surplombant la ville. Contrairement à ce que son nom laisse imaginer, cela fait déjà plusieurs heures qu’il est debout. Sûrement est-il resté là toute la nuit gardant un œil protecteur sur sa cité. A l’image de son royaume il dégage une grande sérénité. Assurément, il a changé. Sa fougue d’entant s’est quelque peu perdue, laissant place à plus de retenue, de calme et de sagesse. Sans doute est-ce l’œuvre du temps et de l’expérience qu’il a acquise. Même s’il n’est pas encore très âgé, il a déjà vécut de nombreuses épreuves qui marquent la vie d’un homme. Revenons quelque peu sur son passé pour apprendre à mieux le connaître.

Sleepman est né lors d’une nuit agitée de lune Bosérienne, sur le calendrier d’Hera. De part ses parents, souverains de Linblum, il est promit à un grand avenir. Très jeune, on l’initie aux sciences les plus diverses, et dans la tradition de la famille, à l’étude des vaisseaux et moyens de transport aériens. Comme à tout jeune prince, on lui enseigne les subtilités et les tactiques de combat. Il arrive bientôt à maturité, révélant une personnalité audacieuse et avide de connaissances. A l’aube de ses vingt ans, alors que son passage sur le trône est éminent, une épreuve lui est imposée. Pour faire ses preuves, il devra voyager loin, très loin, aux delà des frontières et galaxies imaginables. Puis il lui faudra débarquer sur Arrakis, une planète désertique en proie à de nombreux conflits, engendrée par la présence d’epice, mélange précieux aux multiples vertus. Sleepman devra survivre au milieu de ce conflit, rallier des hommes à sa cause, et bâtir une armée digne de faire frémir les plus grands seigneurs de la planète. Ainsi se retrouva t-il en terre inconnue. Au bout de longues années d’effort et de privation, son nom commença à se faire entendre dans les importantes discussions entre les différents dignitaires des grandes maisons. De jours en jour l’attention portée sur sa base s’accroissait. Grâce à l’aide des fremens rencontrés durant ces années, il forma une force militaire imposante. L’excellence de ses chercheurs lui permirent d’atteindre une pointe technologique sans précédent. Il rencontra de nombreux seigneurs, avec qui il entreprit une longue entente pleine d’amitié. Il exerca longuement la fonction de diplomate, avant de s’engager dans d’interminables guerres dans le desert. Une décennie après avoir débarqué sur Arrakis, Sleepman jugea que son œuvre touchait à sa fin, il décida donc de retourner à ses origines sur Hera.
Son retour sur la planète ne fut pas aussi triomphal qu’il ne l’aurait imaginé. Son père était mourrant, il décéda le mois qui suivit le retour de Sleepman, apaisé de confier le pouvoir à son fils. C’est donc lors de sa trentième année que Sleepman accéda au trône, promit depuis sa naissance. Il entreprit son règne, basé sur l’équité et le respect. Il instaura une grande campagne de développement sur Hera. De nouvelles recherches sur les vaisseaux furent mises à pied. On cherchait le moyen de voyager toujours plus vite, toujours plus loin. Quelques années plus tard, l’empire galactique de Sleepman prenait forme, puisque Terra, planète voisine d’Hera fut colonisée. Les moyens de transport se modernisant à vitesse folle, le contact fut établit avec des civilisations autrefois inconnues. Des rapprochements se firent, des amitiés se créèrent et des alliances naquirent entre les différents souverains. Sleepman participa à l’élaboration de l’une d’entre elle : la Space2000. Ses facultés de discussion et d’écoute le propulsèrent très vite au rang de diplomate. Il représentait désormais les siens au Sénat qui régissait l’Univers connu. Bientôt à sa fonction de diplomate s’ajouta celle de dirigeant de la Space2000. Accéder à la tête d’une des plus anciennes corporations de l’Univers avait été pour lui une immense joie. Dès lors il se démenait corps et âme pour assurer son bon fonctionnement, une tâche qui se révélait complexe, mais que Sleepman assumait pleinement.

Voilà son histoire, ou du moins les evennements les plus marquants. C’est sans doute à ses responsabilités que Sleepman pense en contemplant l’étendue de son royaume. Beaucoup de poids à endosser, le pouvoir est un fardeau dit-on. Pourtant, ce fardeau, Sleepman l’accepte, car il l’a choisit, et ce n’est pas par contrainte qu’il exerce ses fonctions. Mais aujourd’hui est un jour spécial pour lui. En effet, des élections ont lieu au Sénat, pour choisir de nouveaux représentants de l’ordre. Sleepman avait autrefois refusé de participer à des élections de ce genre, mais aujourd’hui, avec l’expérience qu’il a accumulé, il se sens prêt. Prêt à endosser une nouvelle responsabilité et à donner de son meilleur pour faire perdurer l’ordre sur l’Univers. C’est un homme particulièrement motivé, qui vêtu de son costume des grandes rencontres, se rend dans son vaisseau personnel, un simple avenger diplomatique.

Oui, Sleepman préférait de loin la simplicité aux grandes démonstrations, et cela, il n’allait pas le changer pour n’importe quel événement.
Les coordonnées sont saisies, le vaisseau atterrit quelques heures plus tard sur la plate-forme aérospatiale du Sénat. Sleepman se dirige alors vers un imposant bâtiment, rayonnant de splendeur, et respectable de part la hauteur de ses tours et sa modernité apparente. Des personnalités de toute race et de tout horizon se croisent, on aperçoit de nombreux commerçants qui animent les couloirs par leurs débats sur la bourse ou le prix des vaisseaux. Des ambassadeurs et leurs interprètes échangent des paroles plus discrètement, à l’abris des curieux. Quelques officiers se racontent leurs dernières batailles… Après avoir franchit d’immenses corridors, et rencontrer quelques connaissances, Sleepman arrive enfin au Hall où se déroule les élections. La pièce est splendide, des portraits des hauts-dignitaires y tapissent les murs, séparés par d’imposantes colonnes de marbre. Plusieurs seigneurs, plus élégamment vêtus les uns que les autres se pressent pour présenter leur candidature. Sleepman est conscient que les places seront chèrement payées, il lui faudra rivaliser d’ingéniosité pour acquérir ce poste. Il attend quelque peu que les autres seigneurs finissent leurs présentations. Le silence parvient, moment que Sleepman choisit pour passer devant les dignitaires qui régissent les élections. Il se remémore alors sa jeunesse, lorsqu’il passait dans des conditions similaires ses examens oraux d’arithmétique sur Hera. Mais ce n’est pas un diplôme qui est en jeu, mais bel et bien un poste important. Enfin, Sleepman prend la parole, sa voix est sereine, posée, il sait que de toute façon il n’a rien à perdre en se présentant :


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Le Suivant présente cette fois-ci une alliance, où j'ai chosis une trame assez sombre.
Il s'inscrit dans le contexte du livre Dune (si vous l’avez lû)

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Arkhän, la citadelle noire, bien des légendes se racontent à son sujet, il faut dire qu’elle s’y prête idéalement. Nichée dans les contreforts du pic Salusa, son ombre s’étend jusqu’aux murs d’Arrakeen, la capitale. Et ce, depuis toujours semblerait-il. De mémoire de fremen , elle a toujours été là, faisant partie intégrante du paysage. Pour tout être normalement constitué, elle paraît inaccessible, environnée de falaises escarpées infranchissables. Seules les deux lunes, quand vient la nuit, dévoilent ses hautes tours, les baignant dans une lueur pâle, fantomatique... Plus mystérieux encore, un voile de brouillard semble l’habiller constamment, ajoutant une dernière touche à son aspect irréel. Mais elle est toujours restée silencieuse, inanimée, attendant son heure patiemment. Toujours oui, jusqu’aux horribles événements du 28 lunaire de l’année 10961... Toutefois avant d’aborder cette date, il nous faut reprendre tout depuis le début.

Cette année là, alors que nous, fremens, menions une vie paisible, l’empereur et ces hommes débarquèrent sur Arrakis. L’histoire, vous la connaissez, le Djihad Butlérien, les exactions des troupes de l’Empereur, l’enfer pour nous… Comme vous le savez avec l’aide de la maison Atréide et du Duc Leto, nous décidâmes d’organiser la rebellion.
Lors d’une offensive contre l’Armée impériale, nous fîmes prisonnier quelques uns de leurs soldats : les Sardaukars, troupes d’élite surentraînées, leur valeur semble être égal à 10 de nos soldats. Leur force, ils la puisent dans l’épice qui accroît considérablement leurs forces mais a des effets dévastateurs sur leur organisme. Ainsi si leur puissance n’a pas d’équivalent, ils sont dans un état inconscient, l’Empereur a tout contrôle sur eux, et les fait agir à sa guise. Ces sardaukars, donc, nous les tînmes en captivité de longues semaines. Privés d’épice, leur esprit s’éclaircissait peu à peu, comprenant comment l’Empereur se servait d’eux, les manipulant grâce à l’épice. Ces soldats autrefois fanatiques éprouvèrent alors un profond ressentiment face à l’Empire. Nous réussîmes à les convaincre de se joindre à nous. Pourquoi leur accorder notre confiance, je ne sais guère, mais la détermination qui se lisait dans leur yeux était inébranlable.

Quelques mois plus tard, une attaque était organisée sur la capitale Arrakeen. Je faisais partie d’une division mobilisée, ainsi que les sardaukars passés de notre côté. Cette bataille qui devait être une grande étape pour la reconquête de nos terres faillit faire sonner notre glas. Notre division fut prise en tenaille par les troupes impériales. L’Empereur lui même été présent, sans doute pour savourer sa victoire… Il n’en était rien. Il avait été informé des sardaukars qui avaient basculés de notre côté, et il voulait de sa personne punir les traîtres. Il les fit avancés devant lui. Les martyres, alors, ne bronchèrent pas et lui firent face, aucune once de peur dans leurs regard. L’Empereur, après les avoir minutieusement inspecté, déclara enfin : « La traîtrise est considérée comme un des plus hauts crimes, en outre la peine réservée aux traîtres n’est autre que mort. Mais la mort ne serait vous accorder une quelquonque souffrance, elle ne ferait que vous délivrer… Non vous ne serez pas mis à mort, j’ai une bien meilleur idée… Vous serez exilé dès ce soir, au crépuscule, à la citadelle Arkhän, qui sait ce que vous trouverez là bas… »
Un des généraux s’interposa alors : « Mais mon seigneur, comment parviendrons-nous à les emmener là bas, il n’y aucun moyen de gravir ces falaises… »
L’empereur rétorqua alors : « Qui a parlé de les emmené… Ils s’y rendront seuls »
Sur ces mots, l’empereur leva sa main droite, et murmura des paroles inintelligibles à l’encontre des futurs exilés. C’est alors qu’une chose formidable se produit, les prisonniers furent entourés d’une aura sombre, intense, mystique. Leurs yeux se révulsèrent, ils se courbaturaient, gémissant de douleur. Le spectacle affreux, dura quelques minutes, puis tous s’effondrèrent au même instant. Leurs visages déments paraissaient inhumains, comme dénués de tout sentiment.
L’empereur ordonna de les conduire aux pieds du pic Salusa et de les laissa là bas. L’ordre fut exécuté tandis que l’on fit conduire ma division dans les cachots de la Forteresse Corinno. On me plaça dans la même cellule qu’un vieil homme, dont je n’avais jamais remarqué la présence dans nos rangs. Nous discutâmes quelques temps du châtiment donné l’Empereur et surtout du sort qu’il leur avait affligé. Le vieil homme déclara alors : « De part ses mots, l’Empereur a maudit ces exilés. Il a pervertit leur esprit à jamais, annihilant toute trace de conscience, de mémoire et de bonheur. Il les a condamné à errer éternellement, tells des coquilles vides sans âmes. Il en a fait des êtres dépourvus d’émotions, avec pour seul but de détruire, de se nourrir du désespoir, des larmes et de la souffrance pour apaiser leur mal. Au crépuscule ils graviront les falaises d’Arkhän poussés dans un élan de folie. Si l’Empereur leur a infligé un châtiment des plus abominables, il n’a pas réfléchit aux conséquences… Je vois en leur avenir beaucoup de sang couler et beaucoup d’âmes déchirées… Ainsi le funeste destin d’Arkhän est tracé… » C’est sur cette dernière phrase que le vieil homme se tut et me laissa méditer. La nuit se dessina, sans que je puisse trouver le sommeil. C’est alors que je perçut une longue plainte, des cris stridents exprimant une douleur insoutenable. Je me posais lors aux barreaux de ma cellule, observant la pic Salusa. Arkhän s’y dressé plus imposante que jamais. Elle semblait comme éveillée, en effervescence, prête à saluer ses nouveaux hôtes, comme si leur venue était de puis toujours attendue. Je restais toute la nuit à contempler sa splendeur, comme absorbé par l’atmosphère qui s’y émanait.
Dès le lendemain, plusieurs cadavres furent retrouvés prêt dans une caserne, non loin de notre lieu de détention. On raconte les avoir trouvé mutilé, une expression de terreur sur leur visage. Ces crimes n’étaient pas l’ouvre d’êtres humains, c’était impossible… Un des officiers jeta un regard d’effroi à la Citadelle noire, d’autres firent de même avec la même idée en tête.

Pendant les cinq ans où j’ai été tenu prisonnier, on ne parlait quotidiennement que d’attaques répétitives. Des factions entières avaient été mises en déroute, sans que personne ne puise témoigner de l’identité des agresseurs. La rumeur prétend avoir vu de longues silhouettes sombres, venant du pic de Salusa…
Chacun est libre de croire à ce qu’il veut, et parfois certaines choses restent inexpliquées, sans trouver de solution rationnelle. L’empereur a tenté de faire croire que ces agressions venaient des rebelles, pour avoir une raison de plus pour les traquer. Mais tout comme moi, il connaît parfaitement les responsables, mais refuse de se l’avouer. Comme l’avait déclaré mon vieux compagnon de cellule, l’avenir n’est plus qu’incertain. Vivre dans la crainte est désormais notre quotidien et l’ombre d’Arkhän n’a pas finit de s’élever…


Mémoires d’un Fremen anonyme, Arrakis, 10966

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Enfin le dernier que j'ai retrouvé est le plus récent (il date de l'hiver dernier).
Une nouvelle histoire d'alliance, avec la création d'une histoire autour d'une planète mythique : Sion.
Pas vraiment d'inspirations sur d'oeuvres connues, si ce n'est que j'ai
voulu me lancer dans une civilisation ancrée dans le religieux (bien
que je sois athée^^). J'aimerais à nouveau exploiter le filon à
l'avenir qui me plaît bien.


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Sion, éternelle Cité légendaire, est un lieu de pèlerinage pour tout homme avide de savoir et de connaissances, tant son histoire, remontant à la nuit des temps, a marqué celle-là même de l’Univers.

Elle fût érigée par un peuple, qui jusque là était imprégné d’un mode de vie nomade, mais partageait les mêmes croyances mystiques envers la Déesse-Mère Omnisca, gardienne de la planète et du sort de ses habitants. Il est raconté qu’elle apparût aux grandes souverains, en des temps troublés, sous la forme d’une colombe, pour leur délivrer un message d’espoir et de protection… Quoiqu’il en soit cette même ferveur autour de la Déesse unît les peuples, et la religion Omniscatys permit d’ériger un somptueux temple en son honneur, les fondations-mêmes de la Grande Cité.
Au fil des années la population aux alentours du temple se fît de plus en plus nombreuse, si bien que les habitations se multiplièrent. Ainsi naquît Sion, baignée par l’aura protectrice de sa Déesse.

Durant des siècles, des millénaires, la Cité connût une vie paisible, marquée par un essor technologique sans précédent. Il fût loin le temps des constructions archaïques en bois séché ou en pierres…Il fallait désormais compter avec le progrès, symbolisé par les bâtiments administratifs aux hauteurs vertigineuses, ou les transports ne se faisant plus par voie aérienne… C’est durant cet âge d’or que les premières communications avec les peuples extérieurs ont été établis, c’est également ce qui mit fin à toute vie paisible dans la Cité. Car l’Histoire de Sion ne saurait être aussi bouleversante si la Cité n’avait suivit qu’un long fleuve tranquille…

Parmi ces autres peuples, certains étaient pacifiques et entamaient des relations cordiales avec Sion, marquées par des rencontres entre les différents dynastes et des accords commerciaux. Mais d’autres peuples n’avaient que pour seul objectif la soif de puissance et de conquête. Sion attisait les convoitises tant elle rayonnait par sa technologie, mais surtout par la ferveur unie de sa religion… Les premières altercations, suivies d’assauts sur la Cité arrivèrent très rapidement. Sion menaçait de plus en plus chaque jour de céder… Les habitants étaient convaincus qu’ils avaient mal prêché pour la Déesse et qu’ils subissaient son courroux. Les prières se firent plus intenses. Le Souverain lui-même, en qui coule le sang des pionniers de Sion, s’adressa à la Déesse. Et l’on raconte que ce fût l’un des moments où la colombe fût aperçue. L’appel du souverain fût entendu. Un matin, alors que les remparts nord-est avaient été détruits, une plainte déchirante se fît entendre. C’était comme un chant adressé à l’oreille de tout homme, surgit du ciel lui-même. Les nuages persistant depuis des mois furent chassés par une rafale d’une force colossale. Les rayons de l’Étoile éblouirent la Cité, tandis que surgissaient un essaim de vaisseaux de combats couleurs émeraudes, portant un emblème de dragon. Habités par une force fantastique, ils balayèrent les vaisseaux ennemis en quelques heures.

Ne connaissant l’identité de leurs sauveurs, les habitants de Sion les nommèrent les « Dragons de Sion », car ils ne connaissaient d’eux que leur emblème…
Les croyances racontent qu’ils sont les envoyés de la Déesse, chargés de défendre de la planète.
L’histoire témoigne de leurs nombreuses apparitions aux cours des différents conflits majeurs. Mystérieux justiciers, ils demeurent encore dans les récits légendaires qui se racontent dans les nuits hivernales de la Cité, et sont vénérés chaque jour par les habitants au même titre que la Déesse. On dit aujourd’hui que sur Sion, une aide sera toujours apportée à celui qui le demande…


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Enfin voilà, vous pouvez voir que le RP est une de mes petites passions
Si vous avez eu le courage de tout lire bravo!
Je vous serait très reconnaissant de faire des critiques (même et surtout
négatives) qui pourrait me permettre d'améliorer mes écrits.

Pour mon futur RP sur cet Univers et ce personnage, Syndrome, je souhaite
exploiter le mot en lui-même et ce qu'il inspire, et bâtir un petit
mythe autour de ca.

pas mal du tout

excellent j'adore.

moi aussi enfait

trop bien franchement

Merci.

Ca me manque de faire du RP...
Maintenant c'est compliqué, j'ai enormement de boulot du coup je peux passer à peine 2h sur l'ordi le week-end

Peut-être que je pourrais réécrire quelque chose pendant les vacances...

a oui forcement c est genant mais bonje suis sur que tu trouveras du temps pck c est genial tes ecrits franchement continue

oui il faut